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ALLIANCE REPUBLICAINE DE PROGRES

" QUE SIGNIFIE PENSER LE POLITIQUE ? "... TRENTE ANS APRES !

2 Août 2018 , Rédigé par Patrick CLEMENT

Pour rester dans les souvenirs qui nous permettent pourtant, trente ans plus tard, de retrouver des réflexions encore d’actualité, je vous propose un nouvel exposé qui s’inscrit là encore dans le cadre de mon DEA de Sciences Politiques de Paris II Assas-Panthéon : « Que signifie penser le politique ? ».

Les prémices de ma réflexion ultérieure sur « Les Sens de la vie »…

Vaste sujet ! Pour les plus courageux bien entendu…

 

EXPOSE EN DEA DE SCIENCES POLITIQUES - PARIS II PANTHEON-ASSAS (1987) :

« QUE SIGNIFIE PENSER LE POLITIQUE ? »

 

Voici un sujet rêvé ! Bien entendu, chacun est à même de percevoir la richesse d’une telle problématique mais, par ailleurs, chacun y répondra par des arguments très personnels tant il est vrai que de multiples chemins mènent à une telle réflexion. Les plans conceptuels sur lesquels il est possible de se placer sont eux aussi très variés, que ce soit l’aspect philosophique, sociologique, purement politique, et bien d’autres. Ainsi, la scène de notre débat se trouve peu à peu précisée : il ne nous apparait pas possible d’embrasser la totalité du sujet sachant que celui-ci est proche d’une tentative de définition de la philosophie de la vie elle-même.

Ceci étant dit, il nous reste à tracer les contours de ce fleuve qui nous emporte afin que nous soyons à même d’en remonter le cours jusqu’à sa source. Paradoxalement, chaque obstacle nous permet une fois celui-ci franchi, de progresser plus rapidement mais il faut savoir que tout relâchement permet au courant de nous entraîner plus en aval.

Il est essentiel de parvenir à penser le politique, c’est-à-dire à penser notre vie, la vie, au moins dans ses grandes lignes. Méthodologiquement, il s’agit en quelque sorte de définir une sorte de cadre que nous pourrons alors remplir et qui nous permettra d’affiner notre cadre initial. En d’autres termes, contenant et contenu sont étroitement liés, l’un n’étant connu que grâce à l’autre, et vice-versa. La démarche adoptée pour aborder le politique se juxtapose à la manière dont on conçoit le politique.

Pour le commun des hommes, rien n’est possible sans effort lequel nous permet d’évoluer et par là de nous sentir Homme et pour ceux qui y sont sensibles, de se rapprocher de Dieu car tout ce qui nous pousse vers la vérité nous pousse vers Dieu.

 

Il nous faudra aborder le politique de l’un au tout, c’est-à-dire par rapport à soi-même et par rapport à Dieu. N’oublions pas en effet que notre Moi occupe une place essentielle dans notre vie, même si l’image des vases communicants permet de nous faire penser que cette place est à mettre en rapport avec celle de Dieu dans notre esprit.

 

Prendre la mesure de Dieu, c’est sans doute faire une moindre part à notre propre personne sans toujours oublier que nous sommes Homme et que, par-là, notre épanouissement personnel fait partie intégrante de notre quête. Chercher Dieu en se niant soi-même revient à mon avis à ne jamais s’en approcher. Et c’est ici que se place notre interrogation : comment aborder le politique ? Et, puisque nous avons inversé notre démarche, mais n’est-il pas normal de procéder par ordre du tout à l’un, nous allons maintenant nous engager plus en avant.

 

Penser le politique, c’est d’abord et peut-être avant tout se situer par rapport à Dieu, même si dans le corps proprement dit de cette réflexion, nous nous situerons en un point où chacun puisse se retrouver, quel que soit son sentiment intime sur cette question. N’est-ce pas là le propre du politique d’ailleurs : créer un espace où chacun soit, en permettant au tout d’être, et sans doute d’aller.

 

Pour que l’ensemble humain, la société, se rapproche de Dieu, je crois nécessaire que celle-ci se rapproche de la vérité. Or, la vérité passe par le perfectionnement du progrès. D’autres voies existent peut-être, plus intérieures, voies que nous pourrons découvrir un jour du fait de l’évolution des facultés encore inexplorées de l’Homme, mais notre raisonnement doit se situer en un point temporel concret : aujourd’hui.

 

Alors, il semble certain que c’est en comprenant mieux l’individu, le monde, l’espace social, que notre réflexion s’affirmera. Même si nous savons que cette fuite en avant ne va pas sans l’instauration d’une société difficile à maîtriser mais néanmoins porteuse d’un progrès vital, essentiel (rappelons que le terme essentiel est formé à partir du mot essence).

 

Mais, là encore, et c’est essentiel dans la manière d’aborder le politique, l’individu doit apparaître comme étant le second pôle de notre articulation. Tout est là. L’individu, en progressant dans la connaissance de la vérité, peut se donner les moyens de penser Dieu de manière plus précise, en écartant de sa pensée toutes les fausses croyances établies jusqu’alors. La progression dans l’univers de la connaissance permet de porter plus haut l’état de notre réflexion.

 

Cependant, l’individu ne peut s’épanouir que s’il est immergé dans une société qui lui donne les moyens de cette réflexion et lui en donne même davantage chaque jour. En somme, une société qui ne voit pas que par elle-même et le progrès équilibré qui doit la sous-tendre, mais une société qui prône le respect de l’évolution de l’Homme lui-même.

 

N’oublions jamais ceci : il faut favoriser le développement d’une société qui est au service de l’Homme et, par-là, pour ceux qui en sont conscients, au service de l’approche de dieu. Il y aurait beaucoup à dire à ce propos sur l’Eglise, et surtout beaucoup à faire pour que le message de l’Eglise, et surtout du Christ, soit perçu dans des termes appropriés à nos mentalités actuelles, pour qu’il puisse être reçu à la lumière de ce qu’il est véritablement.

 

Mais une règle fondamentale doit demeurer présente à notre esprit : le cours des choses se réalise lentement ainsi, ce que l’on conçoit dans notre esprit comme projet cohérent de société ne peut voir le jour que lentement, et surtout, ce sont les hommes eux-mêmes qui, consciemment, volontairement, donneront à ce projet sa forme définitive. En effet, si la société est Une dans nos réflexions, elle est plurielle pour le moins dans la réalité.

 

Plus modestement maintenant, passons du tout à l’un.

Brosser le portrait de celui qui serait le mieux à même de penser le politique relève de l’utopie, mais certaines caractéristiques toutefois apparaissent au premier plan. Ainsi, ce n’est pas sur des qualités d’ouverture d’esprit, d’honnêteté intellectuelle, que je m’approfondirai, même si celles-ci sont éminemment nécessaires, c’est plutôt sur la nécessité de connaître la société qui nous entoure et les hommes qui la compose, qu’il faut se pencher.

 

Connaître la société qui nous entoure n’est pas donné à tous surtout dans une société médiatisée comme la nôtre qui privilégie le superficiel à la réflexion de fond. Je crois que nous sommes passés d’un stade d’accès indirect de l’information à un stade d’accès direct, surtout avec le développement des moyens audiovisuels. Expliquons-nous !

 

L’avènement de la démocratie est une donnée qui m’apparait incontournable et cela est sain pour l’évolution de la société ; et qui est d’autant plus incontournable que la profusion des idées permet à l’individu de prendre la mesure de la globalité du social très directement.

 

Auparavant, l’information, au sens large, circulait après avoir été vulgarisée en quelque sorte par différents relais. L’idée est simple même si celle-ci peut apparaître à certains choquante. Ainsi, la discussion entre un individu qui possède une grande masse de connaissances, et sait l’utiliser, et un individu qui se situe, pour simplifier, au bas de l’échelle des connaissances, est très difficile pour ne pas dire quasi impossible à moins d’être dans un climat de sérénité parfaite. Mais le moins que l’on puisse dire, c’est qu’un tel débat ne sera que très peu bénéfique à notre individu « savant ».

 

Ainsi, les relais humains permettaient aux informations d’être transmises d’une manière adaptée et bénéfique à toutes les couches de la population. Or, voilà qu’avec les médias, ces relais sont mis entre parenthèses. L’idéal serait d’avoir au niveau des médias des individus éclairés, mais tel n’est pas le cas, ce qui aboutit à ce qu’une vision un peu simpliste et en tout cas souvent brutale des faits soit transmise au public.

 

D’un autre côté, des médias représentatifs en quelque sorte du public, permettent à celui-ci de mieux adhérer à la société. Il nous suffit d’espérer (et d’agir dans ce sens) que le niveau qualitatif des uns et des autres s’améliore. Mais il demeure que l’individu, en croyant tout savoir, tout comprendre, risque d’être réticent au débat. La réalité de la démocratie ne se décrète pas, elle se modèle progressivement.

 

D’autre part, il faut connaître les hommes. Souvent, celui qui pense le politique tient un raisonnement intellectuel, instantané, c’est-à-dire qui n’inscrit pas la société dans l’évolution qui est la sienne et dans sa complexité humaine. La société est faite d’hommes et de femmes dont les comportements ne répondent pas exactement à un critère de rationalité. Leurs caractères, leurs sentiments, leurs passions entre autres (bref, leur imperfection même qui est humaine) entrent en ligne de compte pour fausser les calculs parfois trop mathématiques de ceux qui veulent prévoir les comportements sociaux.

 

De même, la généralisation est une tendance dont il faut se méfier car il est peu fiable de vouloir à tout prix croire que les hommes se regroupent en quelques grandes catégories sociales cohérentes et facilement analysables. Au milieu de la foule, penser le politique nous semble parfois illusoire.

 

Ainsi, même si ce portrait de celui qui a vocation à penser le politique est évidemment imparfait et parait aller de soi, il me semble que la connaissance de soi est une donnée supplémentaire de grande importance. La qualité de sa réflexion dépendra du recul que l’on prendra par rapport aux événements et par rapport à soi-même. En fait, il s’agit de savoir se placer au-dessus ou en dehors du domaine étudié mais, en même temps, de savoir s’y plonger pour que sa perception ne soit pas inhumaine. N’oublions pas que Raymond ARON se présentait comme un spectateur engagé et que Bertrand de JOUVENEL se décrivait comme un voyageur du siècle.

Nos repères étant fixés pour déterminer l’approche du politique, notre étude pour appréhender le politique peut prendre forme.

Concevoir le politique peut se percevoir de deux manières différentes et cette distinction me semble nourrir profondément le débat politique. Concevoir le politique du point de vue du pouvoir ou concevoir le politique du point de vue de l’individu.

Alors, prenons position dans ce débat pour faire vivre notre réflexion. Pour ma part, je conçois le politique du point de vue du pouvoir. Et cette prise de position découle directement de la problématique que j’ai détaillée précédemment. Mais, si je me positionne de la sorte, ce n’est pas dans un esprit de rejet des tenants de l’autre conception du politique. Simplement, ma vision du politique sera, au sens large, sous-tendue par cette approche mais elle ne peut avoir une dimension humaine qu’en étant modulée par les thèses de ceux qui conçoivent le politique du point de vue de l’individu. Engageons-nous davantage !

Il serait simpliste de résumer cette distinction à la ligne de partage du débat politique entre la Droite et la Gauche (même si celle-ci n’est pas complètement étrangère à ce débat). D’une part, parce que cette distinction imagée, mais simplificatrice, repose sur des réflexions plus complexes. D’autre part, parce que la Gauche au pouvoir a goûté les joies des difficultés que suscitent justement cette approche : le pouvoir a des impératifs qui s’imposent aux gouvernements, même si ceux-ci doivent savoir composer avec le paramètre individu.

Cette distinction, je l’ai récemment mise en évidence dans un exposé sur « LES MEMOIRES D’ESPOIR » du général de Gaulle. Du moins, c’est l’interprétation qui m’est apparue à la lecture de cet ouvrage. Le peuple comme interlocuteur privilégié de Charles de Gaulle a pour corollaire de Gaulle comme guide de la France marchant vers son destin. L’idée de Dieu apparaissant selon moi sous-jacente à cette construction politique. Qu’en est-il de cette approche ?

Concevoir le politique du point de vue du pouvoir peut s’illustrer justement par une citation des Mémoires d’espoir qui me semble très pertinente (c’est peut-être cela penser le politique) :

« Je mènerai le jeu de façon à accorder peu à peu le sentiment des français avec l’intérêt de la France en évitant qu’il y ait jamais rupture de l’unité nationale » (tome1-p.90 – éditions PLON).

 

Le cadre institutionnel est une composante primordiale dans la conception du politique. Pour l’adepte fidèle de la Vème République que je suis, il n’est pas nécessaire de s’appesantir sur le sujet en l’espèce, même si par ailleurs le débat en vue de définir des améliorations demeure une nécessité.

 

Mais l’évolution de notre monde qui prend la forme d’une courbe exponentielle nécessite un exécutif qui permette de prendre rapidement les décisions qui s’imposent. N’oublions pas que tout retard peut être fatal dans notre évolution future. Or, pour l’heure, notre société occidentale, en premier lieu l’Europe, selon moi, propose le meilleur modèle de démocratie même si la route qui nous reste à parcourir est encore très longue.

 

Bien sûr, notre réflexion doit s’approfondir et intégrer notamment les structures mentales des différentes cultures que recèle notre monde. Notre démarche va dans le bon sens et pourtant le manque d’entrain des intellectuels s’avère cruel. Ils ne sentent plus notre civilisation contemporaine car ils ont perdu de vue les schémas directeurs de notre société et se sont absorbé dans une réflexion abstraite.

 

Or, l’Homme en est arrivé à un point culminant de son histoire puisque celui-ci est en passe de devoir prendre en main sa propre destinée. Est-il à la hauteur de ce défi ? Il n’est pas possible de répondre à cette question mais toutes les énergies doivent se mobiliser pour que cette entreprise nouvelle soit menée à terme dans de bonnes conditions.

 

Dans le prolongement des précédents développements, il faut agir pour assurer le bien commun de l’ensemble de la société et ceci en permettant le progrès. Le développement harmonieux de la société doit constituer l’objectif majeur. L’adhésion du peuple étant recherché à tout prix car l’explosion serait alors inévitable. Il faut donc promouvoir une société de responsabilité pour que la société ne soit pas figée, ce qui aboutirait à un immobilisme dangereux.

 

Cependant, l’Etat n’est pas réduit au rôle de marionnette : il lui faut définir les objectifs qui nous permettront d’aller réellement dans le bon sens. A partir de là, il est nécessaire de faire passer le message : un gouvernement qui, parce qu’il est conscient de suivre la bonne route, refuserait de se plier à cette exigence, irait droit à l’échec.

 

La démocratie exige de l’Etat un effort de communication même si elle ne justifie pas de la part de l’Etat un abandon de ses prérogatives qui, seules, permettent la cohérence et le maintien de notre société qui est humaine, et donc hétérogène. L’Etat assure le respect du ciment commun qui permet à notre société d’être.

 

Accepter de concevoir le politique selon l’individu a pour fondement essentiel de permettre l’adhésion de l’individu à la société. Mais concevoir trop exclusivement le politique selon l’individu nous mènerait à coup sûr vers la dislocation, l’éclatement du groupe humain.

 

L’idée maîtresse est de permettre à l’individu de s’épanouir et ceci le plus complètement possible comme chacun peut le comprendre. Toute la problématique sur l’organisation d’un débat constructif et sur la liberté de l’individu doit être développée dans ce cadre.

 

L’individu doit adhérer à la société qui s’est modelée au cours de l’histoire, et ceci par les hommes eux-mêmes. Il faut pour cela justement qu’il soit capable de penser le politique même si les jalons de sa réflexion doivent lui être proposés dans un premier temps.

 

Comprendre le sens de la vie passe par la compréhension du sens de la vie sociale d’abord. L’individu doit prendre la mesure de la société dans laquelle il vit. Et ceci d’autant plus que l’information lui permet d’être personnellement concerné par tous les aspects qui l’animent. L’Homme, comme je l’ai affirmé à propos de l’idée de participation du général de Gaulle, n’est un animal social que s’il est impliqué par la société dans laquelle il vit.

 

Par ailleurs, la société est composée d’individus qui ont des statuts bien différents sur le plan économique. Mais il faut comprendre que le moule économique doit être mieux appréhendé pour que cet état de fait soit accepté. Le progrès social n’a de sens dans cette dynamique que si l’économie, placée dans un état d’interdépendance mondiale, peut le supporter.

 

Comprendre le fonctionnement économique de notre société, c’est mieux comprendre les différences de niveau social qui existent et qui sont à la source de l’émulation sociale. Mais, tout ceci n’est bien évidemment pas facile à admettre, surtout pour ceux qui sont préoccupés par des difficultés matérielles pressantes. Chacun doit bénéficier d’un minimum pour s’affirmer comme être humain mais, à partir de là, tout ne s’enclenche pas facilement.

 

La transparence, dans cette optique, est une aspiration sociale qui découle de l’avènement de la démocratie : il faut donc l’assumer plutôt que de tenter de la brider.

 

La tentation de la voie du communisme, ou celle qui mènerait à terme au communisme, est dangereuse car elle conduit, comme nous le constatons d’ailleurs, à enchaîner l’Homme. Bien sûr, un jour peut-être, notre société s’étant considérablement perfectionnée et l’Homme ayant atteint un niveau de développement supérieur, alors une société plus organisée, plus soudée, pourrait prendre forme. Mais c’est l’évolution de notre société qui doit nous conduire à un stade plus élaboré, l’Homme ne peut l’imposer d’un coup car alors il aboutit en fait à remettre en cause cette évolution.

De plus en plus, il faudra affiner ces thèmes et les développer pour que l’individu soit à même d’adhérer à la société. Sous un certain angle, le christianisme allait dans le sens d’une telle démarche. L’idée de reconnaissance de la dignité de chaque statut social doit être approfondie ainsi que le respect d’autrui, surtout par ceux qui sont le plus favorisés.

Toutes ces idées permettent de prendre la mesure des difficultés que soulève l’ambition de penser le politique. L’individu – le pouvoir, ce couple correspond à l’idée selon laquelle l’Etat doit prendre en compte les aspirations sociales tout en respectant ce qui est son fondement, c’est-à-dire conduire harmonieusement les hommes sur le chemin du progrès afin que la réflexion, globalement et individuellement, s’enrichisse.

Mais, en dernier lieu, penser le politique, c’est penser la société à travers les hommes qui la composent. Or, le spectacle quotidien de la vie nous apprend que les rapports humains ne sont pas, c’est le moins que l’on puisse dire, très fraternels.

Régler les rapports humains dans une perspective technique en quelque sorte ne peut être la solution, il est indispensable de favoriser les parcelles d’amour et de générosité qui existent en l’Homme.

Finalement, tout concourt à nous faire penser que le politique est avant tout une affaire d’Homme, la réflexion sur cette dimension humaine demeurant essentielle, même si paradoxalement celle-ci parait parfois se développer dans le vide.

 

FIN

EXPOSE «  QUE SIGNIFIE PENSER LE POLITIQUE ? » (1987)

Retranscription sur ordinateur achevée le 2 août 2018

 

 

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