IMMIGRATION : ILS SONT FOUS CES GAULOIS… EUROPEENS
La décadence de l’Empire romain a souvent été analysée sous l’angle de l’affaiblissement de la citoyenneté…
Au risque de se répéter, mais comment l’éviter alors que nos médias étatiques restent incapables de toute pensée logique, il nous faut revenir sur l’invasion progressive de notre continent européen par des vagues d’immigration plus hautes et plus fréquentes que jamais.
Alors, depuis que nous sommes aidés par la réussite exemplaire de la politique australienne en la matière, pourquoi ne pas nous en inspirer ? Elle repose sur un raisonnement imparable dont l’efficacité peut être mesurée :
- Prévenir largement et fermement que les immigrés clandestins ne seront pas admis en Australie ;
- Joindre le geste à la parole en reconduisant tous les immigrés clandestins vers les lieux de départ ou les zones qui ont été aménagées en accord avec les Etats concernés.
Conséquences : les immigrés savent qu’ils vont débourser des sommes considérables remises aux passeurs sans pouvoir atteindre l’Australie ; les passeurs renoncent ensuite à cette destination par manque de candidats et se reportent sur les pays incapables d’avoir une politique réfléchie en la matière.
Sinon, l’enchaînement déjà dénoncé dans un article précédent se vérifie mathématiquement. A partir du moment où les immigrés sont accueillis et finissent par trouver d’une manière ou d’une autre la possibilité de s’installer, les passeurs profitent allègrement d’une demande qui ne cesse de croître. Donc, ils gagnent toujours plus d’argent et les immigrés arrivent toujours de plus en plus nombreux…
Malheureusement, le crétinisme qui encroûte la France est contagieux et l’Europe, devenue lâche désormais, ne parvient pas à comprendre ce raisonnement simple à la portée pourtant d’un enfant.
Voilà pourquoi la décadence de « L’empire européen » est inéluctable et sera précédée de sursauts violents provoqués par la révolte d’une population exposée aux conséquences de l’incurie des gouvernants.
La seule question qui vaut la peine de se poser : mérite-t-on de ne pas être submergés ? C’est-à-dire, pour être concret, quand toute une nomenklatura européenne décide volontairement de se suicider, mérite-t-on de survivre ?
La réponse, c’est le peuple qui peut la donner !
Patrick CLEMENT
Boulogne, le 21 avril 2015